Publication date: Available online 20 July 2019
Source: Annales de Chirurgie Plastique Esthétique
Author(s): J.C. Rivera, C. Bonah
Résumé
À partir des archives du procès « Dujarrier-Geoffre » qui a eu lieu en 1929, on constate que la jurisprudence a évolué. De nos jours, la procédure aurait-il été plus favorable au chirurgien (condamné finalement) ou à la plaignante, qui a perdu sa jambe gauche et sa condition de « propriétaire de maison de couture » ? On fait un rappel de l’état de la « responsabilité médicale » à la « belle époque », et, grâce aux archives du « sou médical » on établit un état des lieux de la sinistralité des chirurgiens plasticiens depuis 1993 (inexistence d’archives antérieures).
Summary
From the municipal archives of the “dujarrier-geoffre” procès in 1929, we analyse an evolution in jurisprudence. Nowadays, the judgment would have to be more merciful to the surgeon (finally condemned) or to the victim who lost her left leg and her “maison de couture”? We review the birth of “medical responsibility” at the “belle époque” in France. Finally with the help of the “sou medical” archives, we show the evolution of plastic surgeons’ sinistrality since 1993 (no data before).
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